J’ai pris ces photos, la plupart du temps,
dans un concert de cigales.
Les heures chaudes s’écoulent délicieusement.
Le soleil plombe durement.
Et là, sous ces arbres en fleurs, on ne veut plus
bouger
tellement on y est bien.
Sous les ombrages, c’est le havre de paix, l’oasis,
la vie tranquille.
Ici chantent encore les oiseaux qui ne craignent pas
de rester à découvert ou d’aller jusqu'à ces arbres fruitiers en fleurs
en voletant de branche
en branche
ou en avançant à petits pas dansants.
C’est là que l’on aime le plus demeurer.
La solitude, la paix des grands espaces,
les rêveries et les envolées de l’esprit,
doit-on aller très loin pour être heureux ?
Cette vie près de la nature , n’est-elle pas
la source du bonheur ?
Jackie Lefeuvre,
Librement inspiré d'un roman de Marcel La Targo
" La peine des hommes "